Marie Rose GARNIER - caparaçonnière

Publié le par GOUPIL Stéphane

Marie Rose GARNIER (branche Coplo - rameau Renart - notre sosa 173 Génération n°8) est née le dimanche 14 mai 1809 à ? Saint-Martin-des-Bois (14659).
Elle est la fille de François Denis GARNIER et de Marie Madelaine DUBOURG, dévideuse de fil, âgée de 28 ans.

Elle s'unit avec François Prosper HERVIEU, couvreur, le fils de François Nicolas HERVIEU et de Marie Jeanne FRONTIN.
Ce couple aura un enfant :
- Denis Auguste né en 1831.

Ils se marient le vendredi 26 février 1830 à ? Saint-Sylvain (14659).

Marie GARNIER est en vie le 15 août 1831, elle a 22 ans.

Le 15 août 1831 naît son fils Denis. Marie est âgée de 22 ans.

Son père François meurt le 19 décembre 1845, Marie est âgée de 36 ans.

Sa mère Marie meurt le 24 août 1865, Marie est âgée de 56 ans.

Marie R. GARNIER est décédée le lundi 27 août 1877, à l'âge de 68 ans, à Saint-Sylvain (14659).
00173 GARNIER Marie dc 1977 - AD 14 - acte de deces - (Numérisation).
 

 

 

 

Marie sera caparaçonnière.

Ce métier « caparaçonnier (ère) » était pratiqué depuis le Moyen Age (XVe siècle)

 

La caparaçonnière est une fabricante de caparaçons.

 

Le CAPARAÇON, au XVe siècle, caparasson, emprunté de l’espagnol caparazon, est une riche couverture d’étoffe pour le cheval qui couvre le poitrail et le dos de l’animal. Les chevaliers déployaient un grand luxe dans le caparaçon, il était armorié, accompagné de fourrures, bordé de franges et de crépines. On retendait sur les bardes du destrier, sur l’armure du cheval de bataille, etc.

Dans la « Vies des grand capitaines français du moyen âge » - Éditeur: J. Lecoffre – Auteur : Alexandre Mazas (1845) – page 253, … les feudataires mettaient beaucoup de soin à caparaçonner leurs chevaux, c’est là qu’ils déployaient toute leur magnificence…


A la Renaissance, la recherche esthétique prend le pas sur l'utilité et l'on voit naître de somptueuses pièces gravées, damasquinées d'or, niellées. Elles ne sont pas conçues pour la guerre, seulement pour les joutes des tournois ou comme pièces de collection (voir en exemple la photographie de la plaque de caparaçon du cheval d'Henri II).

Au XIXe siècle, le caparaçon est une toile destinée à protéger les chevaux des intempéries ou des insectes, dont on couvrait les chevaux de course et, dans une moindre mesure, de trait. (Source : « les métiers de nos ancêtres, D. Chatry).

 

 

Vous pouvez également consulter d'autres articles consacrés aux métiers exercés par nos ancêtres comme par exemple :

Fabrique et fabricien

MESNIL Louis Casimir, sonneur journalier

Les fabricants de rouennerie

MONGREDIEN Jacques - marneron

 

et d'autres encore dans le pavé de droite "catégorie : GENEALOGIE : les métiers de nos ancêtres" 

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